L'autre côté

du Miroir

 

 

 

long-métrage

Avant-Premières

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DIPTYQUE

L'AUTRE CÔTÉ DU MIROIR / LES ABÎMES DU MIROIR

 

Deux films intitulés : L’Autre Côté du Miroir et Les Abîmes du Miroir.

Ce dyptique constitue une aventure inédite dans l’histoire du cinématographe : au fil d'un roman qui s'écrit, deux longs métrages de fiction se renvoient l’un l’autre sans que l’on puisse discerner lequel des deux est miroir de l’autre, lequel est « réel » et l’autre « fictif».

 

Deux films que l’on peut aussi voir de façon totalement indépendante, deux œuvres à part entière.

 

Ce geste cinématographique déploie une trame narrative où les personnages se découvrent eux-mêmes dans la perte et le double de leurs figures... Comme se regarder dans un miroir et ne pas se reconnaître…

 

Pourtant, c’est dans le tissage de ces doubles qui se retrouvent d’un film à l’autre que le spectateur pourra découvrir et se laisser interroger par ce qui fait la trame mystérieuse qui lie ces deux écritures.

 

Fiction ? Réalité ?  Deux mots qui se font miroir.

 

Le labyrinthe est ouvert : à vous d’en trouver la clé !

 

FICHE TECHNIQUE

 

Long métrage écrit par aurélien réal

 

Réalisation, direction de la photographie et montage : aurélien réal

 

Acteurs : Camélia Montassere, Didier Gallon, Frédéric Maltête, Frédéric Bouvier, Khalid Roha, ...

 

Ingénieur du son, musique et mixage 5.1 : Pauline Lucas

 

DIT, Étalonnage, FX : Lucia Diris

 

Régie générale : Lola Panigel

 

Camera assistants : Baptiste Leleu, Thomas Durazzi

 

Décor : Jeff Rivera

 

En coproduction avec Le Grand Souffle

 

Tourné avec la RED Epic-X

Retrouvez le film sur FACEBOOK 

SYNOPSIS /   L'AUTRE CÔTÉ DU MIROIR

ou Les voiles du monde

 

Un cinéaste nous ouvre la porte de son esprit. Son film nous introduit dans l’expérience décisive de sa vie, où l’écrivain qu’il fut mourut à la littérature et à la fiction en général en écrivant un ultime roman.

Mise en scène insolite d’un abîme cinématographique et littéraire en miroir. L’écrivain médite son extinction dans le regard du cinéaste, jusqu’au désœuvrement.

 Il se rappelle l’époque où, isolé dans un manoir et ses terres environnantes, vivant avec un palefrenier et un jardinier, il rencontra une jeune femme immigrée clandestine du monde arabe. Cette étrangère, il l’hébergea en échange d’une proposition : être le modèle de son prochain roman de métafiction.

 Errante, exilée de tout, elle découvre les règles de cette hospitalité inattendue. Un huis clos abyssal commence…

Descente dans le labyrinthe des esprits et les métamorphoses de la création, où se noient les frontières entre réalité et fiction. Pénétration dans une matière épaisse, incertaine, en écho à une terre menacée de toutes parts.

  • « Un film qui ne se donne pas, ne se conçoit pas à l’avance, le film est à la hauteur de l’ambition. J’ai aimé l’entrelacement des lignes narratives, l’image, l’interprétation, tout en somme.”

Eric Naulleau

 

 

  • " Ce mec c’est un super bon , il maîtrise son art , il peut tout faire, un vrai talent de photographe et de metteur en scène. Un choc visuel à la Chris Marker - la jetée – Il pourrait même faire des films de gangsters tellement ce film montre qu’il peut aller partout ! Et quelle beauté d'images ! Félicitations ! »
    (…) « C'est une provocation pour le système d'être aussi doué et de faire un film aussi long »

Marc Bikindou, producteur Hollywoodien

 

 

  • « Un film très profond avec une réalisation superbe. Aurélien a le talent génial de transcrire en images la profondeur des états intérieurs»

Ibrahim Toutanji, journaliste, Dubaï

 

 

  • « Même si nous comprenons bien cette volonté de briser les codes du cinéma et de considérer le langage cinématographique comme une matière malléable et vivante – et donc non figée-, nous n’avons pas été sensibles au travail sur/de/contre la langue cinématographique d’Aurélien. Nous reconnaissons la légitimité de son écriture mais nous ne nous retrouvons pas dans son « intransigeance » Peut-être que nous ne sommes pas assez avant-gardistes ou déjà trop contaminés par les compromissions et vous décevrons sur ce point."

Gautier Labrusse, Le Lux Caen, exploitant

 

 

  • « Le cinéma, c’est aussi faire le deuil de certaines choses, savoir renoncer, couper et oublier. C’est une vertu peu utilisée ici et c’est dommage. (…)
    Même la séquence érotique (qui sera requalifiée - 18 ans par la Commission de classification du CNC à coup sûr : un sexe en érection, ça ne passera pas ! :-)) souffre de ce bégaiement. Et c’est dommage. (…)
    On sent une certaine « improvisation » qui n’a pas été nourrie et qui rend les rapports entre les personnages très superficiels. C’est encore dommage. »
    (…) « L’autre côté du miroir » aborde évidemment à bras le corps ce sujet du « trépignement » de notre monde, et sa tendance à l’impatience qui parfois se meut en incapacité à prendre le temps. Je lui reconnais cette vertu, et l'appel même à cette sobriété m’enchante. »

Patrick Sibourd, Nour Films, distributeur

 

 

  • « Il y a de beaux et bons moments. Mais le film prend une tournure expérimentale un peu radicale, il devient trop abscons pour moi et je n'arrive plus à m'impliquer dedans. Je crains qu'il ait peu de chances d'être retenu, il y a énormément de concurrence. »

Christophe Leparc, Quinzaine des réalisateurs