Un jour est égal
à tous les jours
long-métrage
FICHE TECHNIQUE
Réalisation, direction de la photographie et montage : aurélien réal
Long métrage sorti en 2004
Durée: 2'44 (film 2h30)
Tourné en DV - Format 4/3
61eme Mostra de Venise , section « films numériques »
57eme festival de Locarno, compétition vidéo
Festival du film numérique de Mantes la Jolie (2004)
Festival du film d’Avignon (2004)
Traverses vidéo (Toulouse 2004)
New York International Independant film & video (2004)
Viper, Bersel (Suisse 2004)
Brisbane International Film Festival,
section experimental (2004)
entre 2004 et 2008 :
Exposition du film et de photogrammes tirés du film dans des galeries d'art contemporain en France et à l’étranger.
Un jour est égal à tous les jours a également
été diffusé dans des salles art et essai :
Salon du cinéma de Paris
Gaumont Reims dans le cadre de la
rétrospective sur Le Grand Jeu
Péniche Le Vaisseau Fantôme, Paris
Cinéma Métropolis à Charleville-Mézières
Centre multimédia de l’ADAC, Paris
Cinéma des cinéastes, Paris
Cinéma Coemédia, lyon
8 - 9
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« De la mort du cinéma peut renaître un autre regard. Votre film a cinquante ans d’avance, si tant est que les spectateurs aient encore des yeux. »
J.L. Godard
« Le journal intime par excellence, une image inouïe et un geste pictural en mouvement qui m’a subjugué »
Alain Cavalier
« C'est avec ce film que j'ai commencé à aborder le cinématographe comme un peintre. J'ai souhaité pousser l'exploration des nouvelles possibilités qu'offre le traitement numérique de l'image en mouvement.
Mon propos n'est pas uniquement celui d'un esthète. Il s'agit de sortir des canons du réalisme pour traduire les états de la subjectivité à même la texture du film considéré comme une toile picturale d'où émergent des espaces, des figures, des objets...
J'ai procédé ainsi à une raréfaction de la structure narrative afin de laisser la place au voir et à l'écoute. »
aurélien réal
SYNOPSIS / UN JOUR EST EGAL A TOUS LES JOURS
Un homme seul vit au rythme de l'inconnu, ouvert aux passants du monde qui viennent se heurter, se murmurer, se confier à lui. Une femme traverse l'angoisse de la séparation. La ville, perpétuelle métamorphose, laisse se déployer le mouvement de leur différence jusqu'à l'éclair de leur rencontre.